Nous partons pour Beijing, d’où je prendrai l’avion le lendemain.
On prend le TGV, on a eu des très bons sièges, et le voyage a été très agréable.
Arrivés à Beijing, nous sommes accueuilli par le même ami de Zhiwei qui nous a amenés à la gare, il y a trois semaines.
Le stationnement de la gare a des portes d'abri anti-atomiques et des places à deux étages.
L’ami de Zhiwei nous amène à l’hotel, dans le quartier de Xijing, dans une direction plutôt pas mal un peu beaucoup opposée à celle de l’aéroport…
Nous nous installons à l’hôtel, et Zhiwei fait une sieste.
J’explore les environs avec Google maps, un peu emmerdé de ne pas me promener dehors (mais sans téléphone pour traduire, c’est plutôt hasardeux), puis Zhiwei décide d’aller souper. Dehors de l’hôtel, il demande à deux passants où aller; je suppute qu’ils lui disent d’aller à un centre d’achats tout près. Je l’entraîne vers la ligne de chemin-de-fer sur laquelle je voudrais jeter un œil…
Il maugrée, mais me suit quand-même. Une fois là, au chemin Pingguoyuan sud, qui pourtant est bien pourvu en commerces, il refuse d’aller plus loin pour de la bouffe. Il demande à une dame qui passe, et s’en retourne dans l’autre direction en lui parlant.
J’ai tout juste à peine le temps de prendre quelques photos des lieux et surtout du passage à niveau avant de les suivre.
On arrive éventuellement dans un centre commercial de grand-luxe, et Zhiwei est incapable de trouver le chemin pour entrer à l’intérieur, malgré les entrées publiques béantes; il passe par deux sorties de secours avant d’accepter d’entrer par une entrée publique…
Je suppose qu’il est furieux que je n’ai pas suivi son idée dès le départ, et qu’une fois au centre commercial, je lui ai indiqué une (bonne) direction contraire à celle qu’il a prise… Enfin.
Les restaurants y sont insipides, sauf un, bondé. Nous prenons donc un des insipides où la «cuisine» industrielle réchauffée ne vaudra jamais la bouffe de rue…
Ressortis, nous entrons dans une gargotte pour complémenter notre repas avec un espèce de pain frit fourré à la viande fumée qui ressemble furieusement à du bon vieux «smoked meat» de chez-nous, mais un peu plus épicé. Absolument délicieux!
Puis nous entrons nous coucher, car on se lève à 4h30 le lendemain…
On me demande une carte géographique.
Difficile pour moi d'en faire une dans les conditions où je suis, mais en attendant, cette carte Google montre les principaux endroits où je suis allé:
Fin de la page.